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Final Fantasy VI, un épopée romantique

Final Fantasy VI : Une épopée romantique

Il était temps que je parle Final Fantasy VI. Ce sixième épisode a été un véritable changement de style d’univers et de contraste par rapport à ses aînés. Un univers riche, romantique même, Final Fantasy VI a marqué pas mal de joueurs et joueuses à l’époque qu’il est considéré pour beaucoup comme étant le meilleur Final Fantasy. C’est parti !

Il y a des milliers d’années, la Guerre des Magi a fait rage. Les responsables de cette guerre, trois grands dieux se disputant la domination du monde. Ces dieux ont d’abord transformé des humains en Chimères en leur confiant de puissants pouvoirs magiques. Malgré ces temps de guerres passés, les trois dieux se sont rendus compte que cela détruisait le monde et se sont transformés en pierre mais avant de l’être, leur dernière volonté fut que l’utilisation des Chimères ne soit pas pour des fins maléfiques… Les Chimères, quant à elles, se sont construit un monde. Un monde loin des humains et des dieux.
Dans l’actuel présent, en allant attaquer Narshe, véhiculés dans leur armures magiteks, deux soldats de l’Empire Gesthal accompagnent une jeune fille. Dans les montagnes de la ville, ils tombent nez à nez avec une chimère emprisonnée dans la glace. Lorsqu’ils s’en approchèrent, cette dernière envoie des ondes psychiques, tuant les deux soldats, mais libérant la fille de son armure magiteks. Elle se réveille ensuite dans la maison d’un vieil homme qui lui apprend qu’elle avait été manipulée par l’empire grâce à une couronne qu’elle portait. La pauvre fille, devenue amnésique, ne se souvient que de son nom…

Un nouveau souffle à la saga

Troisième et dernier Final Fantasy à sortir sur Super Nintendo (le 2 avril 1994), FFVI est également le troisième FF à sortir aux États-Unis, mais rebaptisé… FFIII ! En Europe, des joueurs et joueuses ont eu la chance d’avoir le jeu en import mais ce ne sont qu’une minorité.

Très différent par rapport aux anciens opus. Exit l’heroic-fantasy et les couleurs chatoyantes, place à un univers sombre et industriel. Bien que l’univers de FFVI ne soit plus dans le style médiéval, les châteaux et les guerriers sont toujours présents (château de Figaro et de Dôma, le général Léo, la capitaine Celes), ce qui fait une épisode transitoire entre les cinq premiers et le deux suivants.

C’est le premier FF à introduire les Biggs et Wedge.

Dans l’équipe, nous avons Yoshinori Kitase et Hiroyuki Itô à la tête de la création. Hironobu Sakaguchi s’est en tenu à la production et à la supervision générale. Kitase s’occupe donc de la dimension narrative tandis que Itô, le système de jeu et les combats.
Yoshitaka Amano (chara design) et Nobuo Uematsu (bande-son du jeu) sont toujours de la partie.
Hideo Minaba est donc le directeur artistique et Tetsuya Takahashi le graphiste et pour finir, Tetsuya Nomura qui s’occupe du design des combats et ennemis, mais également de la conception de certains personnages.

Tu te souviens quand je n’étais pas aveugle ?

Et si on dénaturait un jeu ?

FFVI a, comme pour FFIV, subi la censure notamment dans la version GBA (scène ou un.e personnage est prisonnie.ère. Il me semble que dans l’original, il/elle se fait torturer injustement) mais l’originale n’a pas été épargnée par la censure. Nintendo USA a décidé d ‘enlever la nudité de certains personnages ou encore, le langage dit grossier.
Le jeu a aussi été américanisée… pour ne pas changer (ça me rappelle amèrement la censure injuste qu’a subi l’animé Yu-Gi-Oh ! par 4kids).

Et si on partageait un peu aux autres ?

Malgré sa belle popularité, FFVI n’a eu droit qu’à des versions rééditées (personnellement, je les considère comme telles) sur GBA et PS1. C’est justement avec la version Advance à laquelle j’ai joué. Les musiques n’ont certes pas la même qualité que les originaux, mais ça ne m’a pas trop dérangée en soi. La version GBA (sortie le 29 juin 2007) a droit à de nouvelles fonctionnalités ou encore de nouveaux visuels.

Pour la version PS1, sortie en 2002 en Europe (avec une démo de FFX), elle a droit, tout comme FFV et FFIV, à des jolies cinématiques illustrant les différentes scènes du jeu. Ça donnerait bien un aperçu d’un possible remake. Oui, je veux un remake, et un VRAI ! Par contre, cette version a été victime de bug.

Les version iOS/Android et Steam sont bien évidemment disponible mais ont été très critiquées.

Ah oui, Locke c’est mon petit amour ♥

Une équipe hors du commun

Nous avons droit à 14 personnages dont 2 cachés et facultatifs : Umaro et Gogo. Pas obligatoires à recruter certes, mais ça pourrait rajouter un petit plus dans la partie.

Ma préférée est bien évidemment Terra, une jeune femme douce, très gentille et à la recherche des réponses à ses questions. Elle est considérée par défaut comme étant l’héroïne du jeu mais sachez que tout.es sont héros et héroïnes de l’histoire (rien à avoir avec FFVIII par exemple où on est complètement dans la peau de Squall). Le fait que chaque personnage ait sa propre histoire rend cet opus très intéressant et riche.

Kefka, parlons-en de Kefka Fucking Palazzo. Machiavélique, sans cœur et sadique. Il est prêt à tout, même trahir ses alliés pour arriver à ses fins. Je ne veux pas spoiler dans ce genre d’article présentation FF, mais je ne peux dire qu’une seule chose, c’est le meilleur antagoniste de la saga. On le déteste, on l’adore, il m’a quand même fait rager la première fois mais il m’a également fait rire. Quel enfoiré ! Sans surprise, il est comparé au Joker, mais le livre « La Légende de FFVI » de Pierre Maugein lui donne une autre comparaison bien plus intéressante.

Et encore, n’oublions pas un autre méchant avec un aspect tout aussi ridicule que le clownesque Kefka, la pieuvre Ultros. Si Kefka est bel et bien l’anta principal, Ultros essaye quand même de nous enfoncer des bâtons dans les roues a quelques moments du jeu.

J’entends son rire, pas toi ?

Système de combat

Lors des combats, la jauge Active Time Battle (ATB) est présente et ce, depuis FFIV et l’équipe peut être composée de 1 à 4 personnages maxi. Le système de classes défini sur chaque personnage fait quant à lui sont retour après un cinquième Final Fantasy avec un système de métiers (qui est très intéressant d’ailleurs).

Petite nouveauté, l’attaque du désespoir. En gros, si un personnage à les points de vie à un niveau critique, il ou elle peut utiliser une attaque alternative et plus puissante. En revanche, la chance d’assister à cela est minime. L’attaque du désespoir rappelle bien sûr les limits breaks de FFVIII qui se déclenchent une fois les HP « dans le jaune » (sans l’utilisation de la magie Aura).

On veut une équipe du tonnerre !

Grâce aux armes, armures et accessoires qu’on peut acheter dans des boutiques spécialisées, forger ou… voler avec Locke, on augmente les stats et obtient de nouvelles compétences afin d’avoir une belle équipe de winners/winneuses en béton.

Toutefois, il existe des accessoires spéciaux et parfois propres à chaque personnages qu’on appelle reliques. Par exemple, trois personnages (j’évite les révélations, nan mais !) peuvent posséder la même relique puisqu’ils.elles sont lié.es. Sinon, presque tout le monde peuvent posséder une grande majorité de relique disponible. Avec de très bonnes associations, tu finiras le jeu oklm !

Réveille le Sylvain Mirouf qui est en toi

Comme je l’ai dit plus haut, FFVI a en tout 14 personnages dont 2 cachés et facultatifs. S’ils/elles ont droit à leur propre spécialités (Locke est un vol.. hum… chasseur de trésors, Cyan un samouraï, Celes une guerrière mage, Setzer un flambeur etc.), grâce aux magicites (un prototype des materias de FFVII) ils et elles peuvent apprendre toutes les magies qu’elles soient noire, blanche ou de soutient.
Les magicites sont des petits cristaux dans lesquels sont enfermés les pouvoirs des chimères qu’on peut obtenir au cour de l’aventure que ça soit dans un contexte scénaristique ou à fouiller un peu partout dans le monde. Associer des magicites aux personnages est également un plus quant à l’évolution de certaines compétence au moment où ils.elles montent de niveaux. Cela ne te rappelle pas FFVIII, une fois de plus ?

Musique maestro !

Nobuo Uemastu nous offre un travail exceptionnel et surtout novateur malgré les moyens de la SNES par rapport aux consoles next gen. On sent qu’il avait une sacrée volonté à défier ses propres limites.

Je ne pouvais pas parler de musique de FFVI sans citer le magnifique Terra (ou Tina) Theme. Certes, il est monotone, mais son côté mélancolique à la flûte de pan m’a directement conquise. C’est d’ailleurs mon morceau préféré de tout les FF confondus. The Mines of Narshe nous plonge dans une ambiance sombre et jazzy. Phantom Train me donne l’impression d’être dans une situation burlesque, voire absurde (bon, en même temps, ça l’est un peu le moment du train fantôme, non ?). Celes Theme est une reprise de l’Aria di Mezzo Caratterre que Celes chante lors de l’opéra qui colle parfaitement à la situation du jeu à la quelle on peut l’entendre. Dark World fait penser à North Cave de FFVII et pour cause, ils ont en commun le désespoir. La pièce maîtresse de cet OST est bien évidemment Dancing Mad. Presque 18min de délire ! Uematsu s’est éclaté à faire ce morceau en plusieurs actes.

Je ne sais toujours pas si je préfère cet OST ou celui de FFIX !

Ma relation avec Final Fantasy VI

FFVI est spécial pour moi puisqu’il m’a donné espoir en la fameuse magie des Final Fantasy dont la flamme commençait à s’éteindre petit à petit. C’est drôle, puisque l’un des thèmes de ce FF est l’espoir surtout lors de la deuxième partie du jeu. Je vais m’expliquer : J’avais commencé FFXII à l’époque mais j’ai été très déçue par le thème de cet épisode alors que c’était un FF que j’attendais vraiment (je lui donnerais une seconde chance, don’t panic !) et surtout par les nouvelles innovations des futurs FF à venir me dérangeaient. En vérité, j’avais surtout un peu peur de ne plus aimer les futurs épisodes de cette saga que je chéris tant depuis mon enfance. Ces multiples déceptions m’ont poussée à mieux m’intéresser aux FF antérieurs au VII, et c’est surtout le VI qui m’attirait le plus. En jouant, j’ai fini par me dire « Allélouia ! ».

FFVI est mon deuxième favori et j’ai compris pourquoi il est considéré comme étant le meilleur de la saga voire un des meilleurs RPG du jeu vidéo.
Tout d’abord, j’ai craqué sur Terra pour son air doux et réservé puis j’ai assisté à sa quête d’identité, ses origines même (ses parents ♥) et pour finir l’amour, un sentiment dont elle ignorait tant auparavant.

Je connaissais quelques trucs sur l’univers de FFVI comme la fameuse scène de l’opéra, mais de la vivre c’est autre chose. Cette scène m’a scotchée (et ce n’est pas la seule). Ce FF joue très bien avec nos émotions et pourtant, il ne possède pas les mêmes graphismes que les jeux récents. FFVI prouve qu’un jeu en pixel peut nous mettre dans tout nos états. Son scénario novateur et romanesque, sa bande-son mythique et ses personnages varié.es et hauts en couleurs font largement le travail.

Son univers fortement inspiré par le XIXe siècle, l’Italie (notamment pour les noms) ou encore le Romantisme (mouvement culturel) font de FFVI un épisode rempli de mélancolie me plait énormément. La folie, l’amour, la quête de savoir, la dictature, les drames familiaux, l’expérimentation sur les êtres vivants, la mort, le suicide, la trahison, le désespoir, l’espoir, il y en a pour tout les goûts.

Conclusion ? Et ben je ne peux qu’encourager les personnes qui découvrent la saga Final Fantasy à jouer à ce diamant brut !

La belle Celes, aussi fragile que forte.

Sources:
La légende de Final Fantasy VI aux éditions Third qui appartient à mon frère, frère à qui je dédie cet article, fan de FFVI, de Shadow et de Kefka.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Final_Fantasy_VI

Final Fantasy IV : le chemin vers la rédemption

Final Fantasy IV : le chemin vers la rédemption

Un FF de fini et un autre dans mon petit palmarès Final Fantasien ! Dire que je devais y jouer il y a 10 ans et après avoir fini Final Fantasy IV mais je ne sais pas pourquoi, ça ne s’est pas fait. Mieux vaut tard que jamais dit-on non ? Petite précision, j’ai joué à la version DS (qui est sur Steam) et non SNES, du coup il n’y aura pas de comparaison de ma part par rapport à la new à la old school. Place à la suite de l’article !

Cecil, le sang !

Royaume de Baron, le chevalier noir et commandant dans les Red Wings (flotte aérienne) Cecil a pour mission de dérober tout les cristaux des royaumes voisins et si nécessaire, par la force. Baron domine et contrôle le monde entier notamment grâce à la technologie de ses aéronefs qui sont des vaisseaux de guerre pour la plupart d’entre eux. Rongé par la culpabilité et ne souhaitant pas agir cruellement envers les royaumes voisins, Cecil se verra désigné en tant que traître et relevé de ses fonctions. Il essayera tout de fois de se racheter auprès du Roi afin de mieux comprendre les cruelles intentions de ce dernier. Il lui donne une autre mission, celle d’apporter un colis au village de Myst, mission qu’il acceptera et accompagné de son meilleur ami, le chevalier dragon Kain. Mais une fois arrivés au village, ce colis se met agir mystérieusement, mettant à feu et à sang Myst

Nouvelle console, nouvelles directions

C’est le premier Final Fantasy à nous offrir un scénario novateur et surtout pleins de rebondissement par rapport à ses prédécesseurs devenant ainsi une référence dans le RPG voire même dans le jeu vidéo. L’univers de ce FF est comme ses aînés, heroic-fantasy mais avec une petite pointe de sci-fi (bon après, si je me trompe concernant les premier FF, dites-le moi. A cette heure-ci, je n’y ai pas encore touchés !). Il y tout les ingrédients pour en faire un magnifique FF : de la guerre, de la trahison, de l’amour, des sacrifices, de la manipulations, des retournements de situations et encore pleins d’autres. Cet opus joue également sur la psychologie des personnages par exemple, la remise en question, le fait d’être affaibli et aveuglé par la haine ou encore combattre ses phobies.

FFIV est aussi le premier de la saga a avoir la fameuse jauge Active Time Battle, remplaçant ainsi, le tour par tour et également d’avoir des mages blanc, noirs et invocateurs ne s’armant pas forcément d’une canne ou d’un bâton (un fouet pour Rydia et un arc pour Rosa).

Cet artwork d’Amano me fait étrangement penser à une image de Seifer, Linoa et Squall, pas vous ? (l’ordre à laquelle j’ai cité les persos n’est pas du hasard)

La censure de la honte

Premier FF à sortir sur Super Nintendo, FFIV est encore une fois le tout premier FF a connaître une belle côte de popularité en dehors du Japon. Sorti en Mai 1991 aux USA mais sous le nom de FFII (le premier FF à sortir dans ce pays fut le troisième sous le nom de… Final Fantasy…). Il faut savoir que FFIV a subit une censure lors de sa sortie aux USA avec l’accord de Square. Le jeu fut jugé un peu trop violent et vulgaire par moment. Le baiser entre deux protagonistes a été changé par un enlacement ou une phrase faisant encore allusion à ces personnages (comme quoi ils partagent le même lit). Complètement stupide oui ! Certains nom ont également était américanisés par exemple : Cain en Kain (je ne vois pas en quoi ça change mais bon…). American Dream disons-nous, hein ?

Portages

En Europe, nous avions pu découvrir ce bijou avec la version Playstation avec le Final Fantasy Anthology en Mai 2002 regroupant FFIV et FFV avec en plus, des cinématiques. Je me souviens très bien de cette jaquette lorsque je traînais beaucoup au centre culturel de Leclerc mais nous l’avions pas prit car les jeux était en anglais et on ne comprenait pas vraiment la langue de Shakespeare à l’époque… Grossière erreur franchement, je m’en veux un peu d’avoir dissuadé mon frère de vouloir le prendre.

Oui Janet, juges-moi, je sais…:(

Il a eu droit à son remake sur Nintendo DS (et une suite, The After Years, qui se déroule dix-sept ans après les aventures de Cecil). Graphiquement, le jeu pique un peu. Je pense que depuis la console portable on ne voit pas trop mais quand c’est sur un écran PC, on voit bien que c’est pas jojo non plus mais mais mais… ce n’est pas la cata non plus, on a eu pire.

D’autres portages sur Wii, GameBoy Advence, Playstation Portable, PC, iOS/Android ont vu le jour.

Depuis le 8 septembre 2021, la version Pixel Remaster est disponible sur PC, iOS/Android tandis que beaucoup de fans attendent une version dématérialisée en particulier sur Nintendo Switch.

Une bande-son efficace

Magnifique

Les musiques on été réarrangées et nous avons eu droit à une introduction de toute beauté (Rydia est magnifique).

Depuis que j’ai découvert FFIV, je suis tombée amoureuse de cet OST. Entre The Red Wings (dès le début du jeu s’il vous plait !), les magnifiques Theme of Love (qui a eu droit à une version chantée pour la DS) et Main Theme of Final Fantasy IV, le mélancolique Edward’s Harp, Fabul avec ses sonorités asiatiques, le génial et terrifiant thème de Golbez, The Lunarians ou encore l’entraînant Within the Giant, nous en avons pour tout les goûts ! Pour FFIV, Uematsu à choisi la samba pour le thème des chocobos.

Par rapport aux trois premiers OST, celui du quatrième opus permet au compositeur d’exploiter ses sonorités et idées comme la Super Nintendo possédait une meilleure technologie.

Premier contact, gros coup de cœur

Dès le début, j’ai été plongée dans le scénario. On aura l’impression de faire jouer un méchant mais cette impression s’éclipsera rapidement. Il faut savoir que j’étais déjà au courant de certaines scènes du jeu (je vais éviter de spoiler!) mais en la revivant par moi-même, ça m’a rendue triste.

Je dois avouer que ce quatrième du nom m’a beaucoup fait penser à FFVIII et FFIX par moment et notamment pour le personnage de Cecil par rapport à Squall. En parlant de personnages, ils sont tous attachants, on leur propres motivations pour se battre et sont bien évidemment, variés autant par leur caractère que par leur style de combat (j’ai adoré avoir Yang dans mon équipe). Ce jeu m’a mise dans tout mes états. J’ai aussi beaucoup ragé dessus surtout contre certains boss. Et cette fin, je l’ai trouvé superbe !

Golbez est pour moi, un des meilleurs méchants de la saga dont ont comprends mieux ses agissement et sa psychologie par la suite. Il est le premier antagoniste a avoir son propre thème musical. Quant à son héros en quête de rédemption, ça été le coup de foudre.

Seul bémol, la vitesse du combat. Je ne sais pas si c’est également le cas sur DS mais c’est super lent ! Ni une, ni deux, j’ai installé un mod afin d’augmenter le FPS pour rendre les combats beaucoup plus agréable ! J’ai aussi remplacé les musiques de la version DS par celles de l’original.

Un Final Fantasy que je classerais dans la partie « J’adooooore » entre FFVII et FFXV et quelque soit la version à laquelle vous jouez, entrez dans l’aventure !

Merci aux sites Finaland, FFFury pour m’avoir aidée à bien résumer l’histoire du jeu à ma sauce (je me suis prise la tête à me demander comment j’allais construire les phrases…) Wikipédia et ce sujet pour les infos complémentaires. Les images ont été prises sur Google Images ou Ecosia.